La Chambre des merveilles - Julien SANDREL
Très bon résumé en quatrième de couverture du livre de Julien SANDREL - La chambre des merveilles :
"Louis a 12 ans. Ce matin, alors qu'il veut confier à sa mère, Thelma, qu'il est amoureux pour la première fois, il voit bien qu'elle pense à autre chose, sûrement encore à son travail. Alors il part avec son skate, fâché et déçu, et traverse la rue à toute vitesse. Un camion le percute de plein fouet. Le pronostic est sombre. Dans quatre semaines, s'il n'y a pas d'amélioration, il faudra débrancher le respirateur de Louis.
En rentrant de l'hôpital, désespérée, Thelma trouve un carnet sous le matelas de son fils. A l'intérieur, il a répertorié les expériences qu'il aimerait vivre au cours de sa vie : la liste de ses "merveilles". Thelma prend une décision : une par une, ces merveilles, elle va les accomplir à sa place. Et les lui raconter. Si Louis entend ses aventures, il verra combien la vie est belle. Peut-être que ça l'aidera à revenir. Mais il n'est pas si facile de vivre les rêves d'un ado, quand on a presque quarante ans...".
C'est une histoire sympathique à lire...J'ai eu peur de retomber dans le livre de Catherine CLEMENT - Le voyage de Théo, que je n'ai pas réussi à finir malgré le sujet intéressant mais ankylosé de boboïtude...Ce n'est pas le cas ici, finalement l'histoire est triste, drôle, un appel à la vie, à soi...un peu gâchée cependant par cette fin gentillette, un peu Disney, ou film de l'après-midi pour la fameuse ménagère de moins de 50 ans (je ne sais toujours pas qui c'est...)...
Petite référence à Gainsbourg qui m'a fait sourire :
"J'aurais envie de vous répondre que j'ai vu le tunnel, une lumière blanche, que Dieu m'a appelé à lui, qu'il était beau, qu'il était grand, qu'il sentait bon le nuage chaud,..."(Page 82).
Autre extrait :
"-Tu ne peux pas jeter le bébé avec l'eau du bain, m'avait-elle asséné. Tu n'es pas une mère parfaite, tu n'es pas une femme parfaite, ça je peux le garantir...mais tu fais de ton mieux au moment où tu vis les choses. Chacun se débrouille comme il le peut, et il n'y a pas d'un côté les mères parfaites et de l'autre les connasses..." (Page 181-182).
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